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L'ISTEAH dans les médias

2015

 

« C'est certain que c'est beaucoup plus difficile que d'enseigner dans une classe où la rétroaction est immédiate, mais ça demeure extrêmement stimulant », fait valoir Daniel Coulombe, qui fait partie des 170 professeurs universitaires qui enseignent aux étudiants de l'Institut des sciences, des technologies et des études avancées d'Haïti (ISTEAH). Dorothée Giroux nous brosse un portrait de cette initiative prometteuse.

L'ISTEAH est un établissement universitaire sans but lucratif qui offre des programmes de maîtrise et de doctorat dans quatre villes haïtiennes. Les cours sont donnés à distance par des professeurs bénévoles partout dans le monde.  

Une nouvelle étape sera bientôt franchie avec le début de la construction de la Cité du savoir, un complexe de 50 millions de dollars qui, à terme, vise la création de richesses par l'innovation, dans le nord d'Haïti.  

Haïti ne compte que 1000 professeurs d'université pour une population de 10,5 millions d'habitants. Le Québec en compte 10 fois plus pour une population d'un peu plus de 8 millions. 

Source : http://ici.radio-canada.ca/emissions/l_heure_du_monde/2015-2016/archives.asp?nic=1&date=2015-12-03    

 

2014

2013

http://www.alterpresse.org/spip.php?article14717#.VmsoCr95GDU
 

L'ISTEAH engage son premier professeur à temps plein

Un concours ouvert a été tenu au printemps dernier pour embaucher un nouveau professeur à temps plein à l'ISTEAH. Un comité de sélection a été constitué en la circonstance pour examiner les candidatures reçues. À l’issue du processus, ce comité a recommandé à la direction de l'ISTEAH la candidature du Dr. Schallum Pierre, qui était déjà professeur associé à l'ISTEAH. Professeur Pierre rentre officiellement en fonction le 1er août prochain en Haïti et assumera également la fonction de directeur adjoint aux affaires académiques. Nous lui souhaitons la bienvenue.
Schallum Pierre, Ph.D. détient un diplôme de 3e cycle en philosophie de l’Université Laval. Défenseur des solutions innovantes basées sur des principes éthiques et écoresponsables, il a également effectué des études de 2e cycle en gouvernance des technologies de l'information et en arts respectivement à la TÉLUQ et à la Sorbonne. Il est chercheur affilié au Réseau interdisciplinaire d’information et d’échanges sur la science ouverte en Haïti et en Afrique francophone (RISOHA). Membre du comité d’éthique de l’Université Laval, il est aussi membre-fondateur du Centre de Recherche, Normes, Échanges et Langage (CRENEL) et du Groupe de recherche multidisciplinaire sur la Caraïbe (GREMCA). Ses recherches académiques comprennent la pensée caribéenne, la philosophie éthique, la philosophie du logiciel libre, le Web participatif et les humanités numériques. Il a entre autres publié les articles suivants : « Jacques Stephen Alexis, polémiste » (2014), « De la négritude de René Piquion à l’humanisme de Jacques Stephen Alexis : considérations sur l’Essai sur la négritude de Gérard Étienne » (2013), « Hegel, l’art et le problème de la manifestation : l’esthétique en question » (2011). En 2012, il a dirigé l’ouvrage collectif Phénoménologie du merveilleux, paru aux Presses de l’Université du Québec.
 
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